Les prochaines manifestations culturelles à Sannois.

 

Sannois

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Le Beaujolais Nouveau à Sannois le jeudi 19 novembre 2015 à 20h :

Une soirée pour renouer avec le passé viticole et les ambiances musicales des dimanches après-midi de Sannois : le début du siècle dernier, les vignes et les guinguettes de la colline.
Dans une ambiance festive et conviviale, Zinzinz et son orchestre animeront la soirée. Vous pourrez déguster, avec modération, la nouvelle cuvée du Beaujolais 2015.

Plein tarif 16€, Tarif réduit 13€. Pour les groupes 1 place offerte pour 10 achetées.

 

 

 

Théâtre « Célimène et le Cardinal » le vendredi 27 novembre 2015 à 20h30 :

Cardinal ! N’était-ce pas le destin idèal pour un atrabilaire autoritaire et solitaire ? Car voici Alceste dans la situation très confortable d’un homme coupé du monde, mais tenant ce monde dans sa main de fer : Au XVIIéme siècle, le pouvoir d’un prélat est considérable.
Vingt ans après, il s’invite donc chez son ancienne amante pour trouver une jolie quadragénaire, qui, loin de la Cour qu’elle « trahie » en épousant un bourgeois, semble parfaitement heureuse avec ses quatre enfants. Mais qu’est donc venu faire l’égal de Mazarin chez cette mère de famille sans histoire ?
Avec Gaëlle Billaut-Danno – Nominations aux Molières 2015. Révélation féminine.
Pierre Azema –Prix d’interprétation masculine au Festival d’Avignon 2014. Mise en scène Pascal Faber.

Plein tarif 23€, Tarif réduit 20 €. Moins de 26 ans : 15€.
Pour les groupes 1 place offerte pour 10 achetées.

 

 

 

Concert « Le paradis et la Péri » de Robert Schumann le dimanche 29 novembre 2015 à 17h :

Après le succès de « Daphnis et Chloé » de Ravel il y a deux ans Martin Lebel, chef d’orchestre à la carrière internationale, revient nous proposer « le paradis et la Péri ». Son orchestre philarmonique sera accompagné par les chœurs Carpe Diem soit prés de 130 personnes sur scène.

Le paradis est interdit à la Péri. Pour y être acceptée, cette figure féminine de la mythologie persane, née de l’union d’un ange déchu et d’une mortelle, doit rapporter « le présent le plus cher aux yeux du ciel ».

« Sa plus grande œuvre », c’est ainsi que Robert Schumann qualifiait cet oratorio alors qu’il venait d’en achever la partition. Inspiré du roman de Thomas Moore, Lalla Rookh, cet ouvrage déploie, sur fond d’orientalisme, le thème de la rédemption, si cher aux romantiques.

 

Entrée gratuite.
Uniquement sur réservation et dans la limite des places disponibles.