Avec l’opération des Chantiers Troc, la ville de Sannois propose aux jeunes de 15 à 17 ans de troquer 5 demi-journées de leurs vacances contre un bon d’achat de 150 €. Regardez le reportage de VOtv.
http://www.dailymotion.com/embed/video/xe0ps3
Avec l’opération des Chantiers Troc, la ville de Sannois propose aux jeunes de 15 à 17 ans de troquer 5 demi-journées de leurs vacances contre un bon d’achat de 150 €. Regardez le reportage de VOtv.
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COMMENTAIRE (03A205A01). CE QU’IL Y A LIEU DE SAVOIR, C’EST COMBIEN CES TRAVAUX AURAIENT COÛTÉ À LA MUNICIPALITÉ ? L’un n’empêchant pas l’autre, j’aimerais savoir amis contribuables, les économies réalisées par la mairie, relatives aux charges salariales et prélèvements obligatoires, si ces travaux avaient été réalisés par des entreprises privées ou par les services techniques de la ville ? Vous mettez en exergue voire en évidence, que ce qui coûte le plus cher, ce sont les charges salariales et les prélèvements obligatoires pour les charges sociales, alors même que nous avons beaucoup de gisements de bras pour travailler ! Voilà des mois que je propose un compteur individuel que je nomme (DECITEMPS) pour tout ceux qui ayant bénéficié de l’aide publique ou en prévision peut-être d’avoir à requérir cette dernière, ont ou auront à rendre par le principe de réciprocité, tout ou partie des aides qu’ils ont ou auronr reçues.
COMMENTAIRE (03A205A02). GRATIFICATION, INDEMNISATION, TROC, (SCV) : SERVICE CIVIL VOLONTAIRE. Votre blog pouvant être aussi «Thing Tank», je profite de cette actualité pour vous faire savoir mon opinion sur l’association d’idées que m’inspirent les termes précités. J’ai l’intime conviction que l’on doit aujourd’hui reconsidérer la finalité des stages scolaires, stages d’apprentissage, travaux bénévoles d’utilité publique, etc. … Il me semble que l’on pourrait partager ou valoriser en trois parties, la durée effective des travaux effectués :
1). Une première partie (à définir contractuellement) pourrait être rémunérée telle que pour exemple, une gratification pécunière.
2). Une deuxième partie (à définir) pourrait être considérée comme un «travail bénévole» (c’est-à-dire non indemnisé pécuniairement). Cette partie serait comptabilisée temporellement en terme de CAPITAL DE RÉCIPROCITÉ, (pouvant être bonifié), pour les accidents futur de la vie active (tel que que pour exemple le chômage), dans un compteur que l’on pourrait désigné (DECITEMPS) : DÉCIsion de consacrer du TEMPs Social. Ce comptage pourrait se faire dans le cadre du (SCV) : Service Civil Volontaire. Aujourd’hui, des millions de personnes cherchent du travail pour gagner de quoi vivre, et dans le même temps, des centaines de milliers de travailleurs s’enorgeuillissent de travailler pour rien ! Il est vital de créer des dispositifs et des structures en capacité de relancer les chômeurs.
3). Une troisième partie (à définir) pour les stagiaires scolaires, serait considérée comme du temps redevable par le stagiaire dans le cadre de sa propre formation scolaire.
COMMENTAIRE (03A205A03). QUELLE EST LA PART DE TEMPS ET OU D’ARGENT QUE LES FRANÇAIS VEULENT CONSACRER À LEUR FORMATION SCOLAIRE OU PERMANENTE ? Il faudrait permettre aux associations, des compétences de formation. Voilà quelques commentaires ou je fais passer cette idée de formation des personnes stagiaires ou au chômage partiel, total ou en activité réduite, par les associations privées et/ou entreprises et administrations publiques. Au lieu d’embaucher des centaines de milliers de fonctionnaires, ces dernières pourraient employer des centaines de milliers de personnes pendant leur temps de formation scolaire ou pendant leur temps de formation permanente en activité. Voilà un secteur d’apprentissage ou ceux qui ont bénéficié de solidarité publique pendant leur période de formation scolaire ou permanente, ou pendant leur période d’activité ou de chômage total, partiel ou activité réduite, devraient par réciprocité, consacrer du temps en tout ou partie, à disposition des associations et services publics. Voilà de nombreux articles ou je parle de (DECITEMPS) : DÉCIsion de consacrer du TEMPs Social, POUR (SRS) : Solidarité et Réciprocité Sociale. Le Dispositif (SCV) : Service Civil Volontaire devrait aider financièrement ces associations. Cela leur attribuerait des compétences et des capacités d’emplois.
COMMENTAIRE (03A205A04). LE (SCV) : SERVICE CIVIL VOLONTAIRE, DEVRAIT ÊTRE PENSÉ OU REPENSÉ, À PARTIR D’UN DISPOSITIF DE COMPTAGE D’UN (DECITEMPS) : DÉCISION DE CONSACRER DU TEMPS SOCIAL POUR (SRS) : SOLIDARITÉ ET RÉCIPROCITÉ SOCIALE. Le (SCV) est confondu avec le bénévolat, lequel est traditionnellement ou conventionnellement une activité non rétribuée, non indemnisée, choisie volontairement et qui s’exerce en général au sein d’une association, d’un syndicat ou d’une structure publique. Celui ou celle qui s’adonne au bénévolat est appelé bénévole. L’étymologie du mot vient du latin «benevolus» qui signifie «bonne volonté». Le (SCV) pourrait être adossé aux dispositifs d’accidents de la vie tel que, pour exemple, les (ASSEDIC) pour le chômage. On pourrait créer une unité de compte qui serait le (DECITEMPS) : DÉCIsion de consacrer du TEMPs Social. Il serait possible alors de considérer que, le fait d’être volontaire pour un travail social de solidarité et/ou de réciprocité, n’impliquerait pas ou ne devrait pas impliquer systématiquement la notion de gratuité. On pourrait l’indemniser et ou le comptabiliser à partir d’un compteur de (DECITEMPS) de la personne !
COMMENTAIRE (03A205A05). SI UN DISPOSITIF DE (SRS) AVAIT EXISTÉ, LORS DE LA CANICULE EN 2003 ! L’administration hospitalière aurait dû Savoir, Vouloir et Pouvoir engager des personnes sur la base du volontariat adossé aux droits et devoirs de (SRS). L’absence d’un dispositif (SRS) fût catastrophique (plus de 15.000 décès en 7 jours (2003) auxquels ont été rajoutés plus de 7.000 décès en 2004). En 2003, j’ai été personnellement refoulé des urgences ou je m’étais présenté spontanément pour aider le personnel. Raison invoquée : Je n’étais pas statutairement habilité à travailler dans un milieux hospitalier. Nombre de chômeurs, préalablement formés pendant ou avant leur période de chômage ou activité réduite, auraient pût être appelé à assister, accompagner, aider les personnes fragiles, dans les tâches quotidiennes. Ils auraient pût agir volontairement et être indemnisés en fonction de leur disponibilité et de leurs droits et devoirs de (SRS), comptabilisés par les (ASSEDIC) à partir d’une unité de compte qui aurait pût être le (DECITEMPS). Ce (DECITEMPS) serait le capital de départ (par exemple pendant le (SCV) : Service Civil Volontaire, qui permettrait d’ouvrir un compte (SRS), pour la vie durant, adossé au dossier de sécurité sociale.