Dans le pur artifice que constitue le théâtre, Nicolas Struve convoque le réalisme de nos vies ordinaire, les 14, 15 et 16 mars au Théâtre des Arts.
Convaincu que, « comme dans le rêve, une vérité essentielle se trouve dans ce qui semble compter le moins », il compose une pièce fragmentée dans laquelle quatre personnages – deux couples d’amis profitant du soleil chaud de l’été – bavardent d’éducation, de fins de mois, de joies et de désirs, d’angoisse face à l’avenir, mais aussi de ces utopies doucement bercées que serait un autre futur, bâti à partir du collectif.
Parents, ils sont en prise avec leurs enfants aussi bien qu’avec eux-mêmes. Mêlant théâtre, films et chansons, le metteur en scène ausculte et révèle les douloureuses inquiétudes et folles espérances de nos vies banales.
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