S’inspirant d’une sculpture de Sol LeWitt, une ligne se décline, construit un conte nu, démultiplie les lieux, les volumes et les points de vue. L’interprétation et la fragilité peuvent s’y blottir en poésie, le 28 avril à L’Antarès.

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Accompagné de rythmes, couleurs, sourires et images, chaque spectateur écrit son récit, au fil de son imaginaire. Le geste intime suggère, gomme, retient ce qui ne peut être dit. Mais il se dévoile dans le désir de partager. Nous sommes tous différents. Que possédons-nous en commun ? Ouvrir, éprouver le regard : il est question de se laisser entraîner dans cet univers poétique et sensible, si proche de chacun de nous, pour construire les critères communs de ce nouveau geste dansant.

 

Par la Compagnie Kalam