Aéroports de Paris a enregistré en 2011 de bons résultats avec une année record en terme de trafic et un chiffre d’affaire en hausse de 0,9%. ADP espère réussir à maintenir le cap en 2012. « Les résultats du Groupe sont solides et montrent la pertinence de notre stratégie de développement » déclare Pierre Graff, président-directeur général de l’entreprise.

Malgré la crise économique, 2011 a été une bonne année pour Aéroports de Paris. 88,1 millions de passagers ont été accueillis, soit une hausse de 5,7% par rapport à l’année précédente. Une affluence record qui a permis à ADP d’enregistrer un chiffre d’affaire de 2 502 millions d’euros, soit 0,9% de plus qu’en 2010.  En outre, l’entreprise revendique un EBITDA* en hausse de 5,5 % à 972 millions d’euros, un résultat opérationnel courant en hausse de 9,1 % à 607 millions d’euros et un résultat net part du Groupe en hausse de 15,9 % à 348 millions d’euros. Les boutiques en zone réservée ont pour leur part enregistrées un chiffre d’affaire par passager en progression de 5,2%.

L’année 2011 a également permis à ADP de renforcer des partenariats dans les activités commerciales avec la prolongation du contrat avec la Société de Distribution Aéroportuaire et une fusion de cette dernière avec Duty Free Paris. Elle a également été celle de la création des co-entreprises « Relay@ADP » avec Relay et « Média Aéroports de Paris » avec JCDecaux.

De quoi satisfaire Pierre Graff, PDG d’Aéroports de Paris qui voit déjà plus loin : « Grâce à un hub puissant, des infrastructures profondément modernisées et un modèle économique résilient, le Groupe dispose d’atouts solides pour poursuivre sa croissance. En 2012, Aéroports de Paris franchira une nouvelle étape grâce à l’ouverture de deux projets majeurs sur la plate-forme de Paris-Charles de Gaulle : la jonction entre les terminaux A et C en avril et le satellite 4 en juillet. Dans contexte économique incertain, nous faisons l’hypothèse d’une croissance modérée pour le trafic, le chiffre d’affaires et l’EBITDA en 2012. »

* Earnings before Interest, Taxes, Depreciation, and Amortization