Normal
0
21

false
false
false

MicrosoftInternetExplorer4

/* Style Definitions */
table.MsoNormalTable
{mso-style-name: »Tableau Normal »;
mso-tstyle-rowband-size:0;
mso-tstyle-colband-size:0;
mso-style-noshow:yes;
mso-style-parent: » »;
mso-padding-alt:0cm 5.4pt 0cm 5.4pt;
mso-para-margin:0cm;
mso-para-margin-bottom:.0001pt;
mso-pagination:widow-orphan;
font-size:10.0pt;
font-family: »Times New Roman »;
mso-ansi-language:#0400;
mso-fareast-language:#0400;
mso-bidi-language:#0400;}

Mardi soir, l’équipe de France de tennis de table a fait trembler les intouchables allemands, triple champions d’Europe en titre, vice-champions du monde et vice-champions olympique, en demi-finale des championnats d’Europe par équipes. Les Bleus se sont finalement inclinés trois victoires à une malgré un très bon Adrien Mattenet. Ils repartent d’Ostrava (République Tchèque) avec une médaille de bronze, huit ans après la dernière breloque internationale.

Cette première demi-finale de championnat d’Europe depuis le bronze remporté à Zagreb en 2002 n’a pas semblé impressionner les jeunes pousses tricolores. Le Valdoisien Adrien Mattenet (n°80 mondial) a tout d’abord montré la voie aux Bleus en dominant Dimitrij Ovtcharov (n°13) trois sets à 2 (9/11, 11/9, 4/11, 11/5, 11/5). Une performance de haut vol pour le pensionnaire de l’AS Pontoise-Cergy, très en verve depuis le début de cette compétition internationale. La suite n’a pas été aussi souriante pour les Bleus. Emmanuel Lebesson (n°144) a cédé face à Timo Boll (n°2), deux sets à trois. Même score et même punition pour Christophe Legoût (n°54) face à Christian Suss (n°21). Adrien Mattenet a ensuite eu l’occasion de ramener ses partenaires à deux victoires partout. Mais face au numéro 2 mondial, le « Grand », comme le surnomment ses équipiers, n’a pu renverser la vapeur comme il l’avait fait contre Ovtcharov. Mattenet rompt en quatre sets (5/11, 10/12, 11/9, 8/11) et les Bleus doivent se contenter de la médaille de bronze. De bon augure pour l’avenir et notamment… les Jeux Olympiques de Londres.

 

Crédit photo : Hubert Guériau