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Mercredi, la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Versailles a mis en délibéré au 7 avril l’appel contre l’ordonnance de non-lieu exprimée en faveur des policiers dans l’affaire de la collision de Villiers-le-Bel. « Nous demandons la réouverture de l’information judiciaire pour que les policiers soient entendus. Le rapport d’expertise contredit leurs premières déclarations », a indiqué à l’AFP Me Jean-Pierre Mignard. Il souhaite que « la faute soit partagée », prônant que « la vérité de la vitesse n’a pas été dite ».
La collision entre la moto de deux adolescents, Mushin et Lakamy, et un véhicule de police à Villiers-le-Bel le 25 novembre 2007, qui avait provoqué la mort des deux jeunes, n’a pas encore trouvé d’issue juridique. L’appel contre le non-lieu prononcé en faveur des policiers en octobre dernier par un juge d’instruction de Pontoise a été examiné par la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Versailles mercredi. La décision de la chambre a été de mettre en délibéré leur verdict au 7 avril prochain.
A la sortie de l’audience qui a duré plus de deux heures, Me Jean-Pierre Mignard, avocat des familles des adolescents, a évoqué la possibilité que « ce ne soit pas le dernier acte. » « Nous demandons la réouverture de l’information judiciaire pour que les policiers soient entendus. Le rapport d’expertise contredit leurs premières déclarations », a-t-il indiqué à l’AFP. Il souhaite que « la faute soit partagée », prônant que « la vérité de la vitesse n’a pas été dite ». Me Jean-Pierre Mignard appuie ses propos sur un rapport d’expertise qui indique que la voiture de police était en « phase d’accélération et roulait à 64 km/h sans gyrophare, ni avertisseur ».
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1 commentaire
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Que celui qui n’a jamais accéléré à 64 km/h en ville pour sortir correctement d’un virage leur jette la première pierre.
De 57 km/h à 64 km/h, ce n’est tout de même pas « Starsky & Hutch ». Lorsque vous appelez la police, vous préférez qu’elle reste en seconde, à 30 à l’heure, ou bien qu’elle se hâte ? Ce qui s’est passé est regrettable, mais il serait temps de tourner la page.
Etant donné que Monsieur Ali Soumaré était le porte parole des familles de ces deux jeunes contrevenants, (et peut-être l’est-il toujours, à moins qu’il ait trouvé un remplaçant) nous aimerions savoir ce qu’il pense de cette initiative de leurs avocats.