Le pari, c’est celui du possible, de l’issue, de l’invention, de la luciole, du 18 au 20 janvier à L’apostrophe – Théâtre des Arts.
« Du fond de la grisaille où nous nous trouvons, nous faisons le pari que nous saurons inventer en actes des manières de résister ensemble », écrit François Verret. À partir d’une multitude de matériaux − de la littérature à la philosophie, du cinéma à la photographie, de coupures de presse aux dialogues avec les gens qu’il rencontre sur le territoire − il crée des formes vivantes et puissantes, sensibles et lumineuses.
Après Rhapsodie démente qui faisait ressurgir quelques fantômes du passé, François Verret questionne désormais les problématiques contemporaines et interroge avec force notre rapport au monde tel qu’il va.
Estampillé « chorégraphe », François Verret échappe à toute tentative de catégorisation. Le doute, la recherche permanente et le sens du possible sont les principes qui semblent guider ses pas. Dans le cadre du projet intitulé « Chantiers 2014-2018 », il crée des spectacles et s’interroge, en constants allers-retours, sur la place de l’artiste dans la cité. Rhapsodie démente (2015) et Le Pari (2017) sont les deux premiers spectacles créés dans le cadre de « Chantiers 2014-2018 ».
Compagnie FV
Mise en scène François Verret
Avec Charline Grand, Natacha Kouznetsova, Paul Poncet, Marc Sens, François Verret
Dans le cadre d’Escales danse en Val d’Oise et Périphérique, Festival des Arts mêlés 13ème
Rencontre avec l’équipe artistique à l’issue de la représentation du 20 janvier
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