Investie par la République en Marche sur la 6e circonscription, dans le cadre des prochaines élections législatives dans le Val d’Oise, Nathalie Elimas réagit aux critiques.

Nathalie_ElimasNathalie Elimas, qui se dit « honorée de la confiance » qui lui a été accordée par les instances de la République en marche, revient ainsi sur les critiques émanant notamment de militants LREM de sa circonscription. « Je lis divers commentaires très positifs et encourageants et d’autres qui sont essentiellement et malheureusement l’expression de rancœurs personnelles passées », explique-t-elle, avant d’ajouter : « J’ai également lu dans la presse des contre-vérités et je tiens à m’en expliquer, car je dois aux militants marcheurs de la première heure et à tous ceux qui voteront pour moi, quelques éclaircissements nécessaires avant de débuter notre campagne sereinement ».
L’occasion pour l’élue MoDem de revenir sur son court soutien à François Fillon, candidat de la Droite et du Centre, avant la présidentielle. « Contrairement à ce qui a été dit, je n’ai pas soutenu François Fillon pour l’élection présidentielle, tranche-t-elle. J’ai immédiatement et publiquement retiré mon soutien après les multiples révélations de presse et l’ouverture d’une procédure judiciaire conduisant à sa mise en examen. Cette déclaration date du 3 mars et demeure lisible sur les réseaux ». Qu’importe, la centriste doit tout de même faire face aux attaques au sein même de son camp.
Enfin, Nathalie Elimas se défend de toute redevabilité envers d’autres élus. « J’ai lu également que je devrais me sentir redevable dans mes mandats, notamment de Luc Strehaiano, candidat dissident lors des dernières élection de 2012 et à ce jour contesté par François Scellier », précise-t-elle. Et de trancher : « Mes mandats, je les dois uniquement aux électeurs qui ont jugé bon de me faire confiance ».