Qui mieux que Michel Fugain peut parler de ce projet un peu fou, qui n’est pas sans rappeler le Big Bazar… version 2015 ? Pluribus, 11 musiciens et choristes, le 20 mai à l’ Espace Saint-Exupéry, avec Gagarine en 1ère partie.
« En pleine crise où la règle est à la réduction des effectifs, on s’est dit : des cuivres, des cordes, des percs… D’accord ! 12 musiciens qui jouent, qui chantent, qui envoient le bois… Et mieux qu’un orchestre, une bande ! Le kif absolu. Et c’est reparti pour une aventure un peu dingue, voire improbable. Hors des sentiers battus. Je connais, j’ai déjà donné. Et pourtant, cette fois, je n’ai pas grand mérite. Ce sont les musiciens qui m’ont choisi pour être le chanteur, le mec qui joue de rien et qui s’agite devant. Je n’ai qu’à faire des chansons, Pierre Bertrand (son arrangeur) et la bande font le reste. On a appelé cette opération anti-morosité ambiante ainsi que le premier album fondateur, le « Projet Pluribus ». Pourquoi ? Parce que c’est tout simplement génial de ne faire qu’un à plusieurs. » Michel Fugain
1ère partie, Gagarine :
Chant, guitare acoustique, guitare électrique : Gagarine
Basse, chœurs, machines : Sophie Martel
Découvert par Francis Cabrel, Gagarine est un OVNI, un auteur-compositeur interprète doué de poésie.
Écouter ses chansons c’est partir en voyage, retrouver des sensations perdues, l’envie « d’attendre que la neige fonde des montagnes » ou réaliser que « Trois heures sont passées » sans oser se dévoiler auprès d’une femme… Son album 365 jours est un pur moment de bonheur.
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