Dans le Val d’Oise, une quarantaine de villes ont contracté des emprunts toxiques au début des années 2000. Des crédits dont les taux variables se sont envolés avec la crise. Les maires tentent de sortir de ce cercle vicieux qui plombent les finances de leur commune. Exemples à Saint-Gratien, où la commune a renégocié avec sa banque, et Saint-Leu-la-Forêt qui a décidé d’aller en justice.
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