« Pour une Ile-de-France vivable ! », Jean-Pierre Enjalbert, le candidat Debout la France dans le Val d’Oise pour les élections régionales, est venu présenter le projet du parti pour l’environnement. Accompagné par Nicolas Dupont-Aignan, tête de liste en Ile-de-France, ils ont symboliquement planté un arbre sur la future forêt de Pierrelaye pour affirmer leur engagement écologique pour la région francilienne.

enjalbert« La région Ile-de-France est un gâchis écologique. Ça fait mal au coeur. » Jean-Pierre Enjalbert ne mâche pas ses mots sur l’état du territoire francilien. Pour marquer son engagement en faveur de l’environnement, le candidat Debout la France dans le Val d’Oise pour les élections régionales, a planté un arbre sur la future forêt de Pierrelaye. « Plus que de belles promesses, l’environnement mérite des actes concrets. Les espaces naturels et agricoles qui permettraient de protéger la biodiversité, d’améliorer la qualité de l’air et de défendre la qualité de vie des franciliens sont menacés. 1 900 ha de terres agricoles et naturelles disparaissent chaque année, l’équivalent du département des Hauts-de-Seine tous les dix ans. »

Autour d’un programme « réaliste et ambitieux », le maire de Saint-Prix dit non au triangle de Gonesse, aux constructions sur le parc de la Courneuve et au tracé actuel du bouclage de la Francilienne. « Obnubilés par le Grand Paris, la gauche Hollande et la droite Sarkozy ne pensent qu’à bétonner notre région. Cela va devenir invivable ! Surtout avec les 15% de population supplémentaire que veulent les socialistes et les verts. »

Pendant que les dirigeants du monde se sont donnés rendez-vous à Paris autour de l’avenir du climat, « l’environnement francilien souffre » : « L’Ile-de-France est championne d’Europe des bouchons et des nuisances aériennes, elle affiche une qualité de l’air parmi les plus polluées. Nous voulons 20% d’espaces verts supplémentaires par francilien, investir immédiatement une partie des 30 milliards prévus pour le Grand Paris pour les réaffecter à la réparation et au développement du réseau ferré, la limitation du nombre de vols et interdire les avions les plus bruyants du ciel francilien. Une nécessité pour une région en souffrance. »