Le député du Val d’Oise Dominique Lefebvre, responsable SRC de la commission des finances, entend défendre à partir du 25 septembre à l’Assemblée nationale « un budget de soutien à la croissance et à l’emploi, qui engage la transition écologique et répond dans la justice aux attentes des françaises et des français ».  

 Le 25 septembre, les députés de la commission des finances entameront le débat parlementaire sur le budget 2014. Pierre Moscovici, ministre de l’Economie et des Finances et Bernard Cazeneuve, ministre délégué au Budget présenteront les dispositions du projet de loi. Responsable du Groupe Socialiste, républicain et citoyen (SRC) de la commission des finances, Dominique Lefebvre affirme déjà la volonté des députés « de soutenir et de conforter un budget de soutien à la croissance et à l’emploi, qui engage la transition écologique et répond dans la justice aux attentes des françaises et des français ».

Les députés du groupe SRC seront « attentifs au financement des priorités de la majorité gouvernementale pour l’emploi, l’éducation, le logement, la sécurité et la justice et aux mesures en faveur de la transition écologique ». Et l’élu du Val d’Oise de promettre que les députés « veilleront à la pleine mise en œuvre du Pacte de compétitivité pour la croissance et l’emploi et à ce que les mesures nouvelles destinées à restaurer et renforcer la compétitivité de nos entreprises soient en priorité orientées vers les ETI et PME et soutiennent l’innovation ».

« Une droite amnésique »

Il sera aussi question, pendant les discussions sur le budget, de « revenir sur les conséquences désastreuses du gel du barème pour deux ans voté par la droite en 2011 qui a conduit de nombreux ménages modestes à devenir imposables, alors même que leurs revenus et leur situation n’avaient pas changé, mais aussi à perdre le bénéfice des avantages consentis aux personnes non imposables ».  

Dominique Lefebvre montre du doigt une « une opposition de droite amnésique – qui n’a toujours pas engagé son devoir d’inventaire sur sa gestion budgétaire – à ses responsabilités passées et à ses contradictions et incohérences actuelles ». Et de fustiger des déficits publics « creusés par dix ans de gestion désastreuse et inconséquente par les gouvernements de droite successifs ».