Le 23 janvier, Pierre-Henry Maccioni, préfet du Val-d’Oise et Fatiha Benatsou, préfète déléguée pour l’égalité des chances, présideront la première rencontre sur « les violences faites aux femmes » en préfecture. Outre la signature d’une convention, la journée sera marquée par la présentation des dispositifs en place pour lutter contre ce type de violences.
La préfecture s’engage contre les violences conjugales. Pierre-Henry Maccioni accueillera Fatiha Benatsou mais également Marie-Thérèse de Givry, procureur de la République, pour présenter les mesures en place contre ce phénomène. Le préfet signera une convention relative à la lutte contre les violences au sein du couple avant de présenter la plaquette « Ne restez pas seule, ne gardez pas le silence ! Dites non ! »
Plusieurs intervenants seront présents pour apporter leur expertise ou témoigner tout au long de cette rencontre. Médecins, gendarmes ou associations, ils présenteront également les dispositifs en place pour lutter contre les violences dans le couple.
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Un grand Merci à Madame la Procureur de Pontoise Marie-Thérèse de Givry, à Madame la Sous-Préfète Fatiha Benatsou et à Monsieur le Préfet Pierre-Henry Maccioni pour ce combat contre toutes les violences, physiques, verbales ou de harcèlements faites aux femmes, avec la mise en place de dispositifs efficaces dans le Val d’Oise pour lutter contre ce fléau avec en point d’orgue la journée du 23 janvier. J’y serai présente. Ce combat me touche particulièrement…Mes voeux pour 2012 ont été entendus. Je souhaiterai, pour ma part, que ce combat soit binômé avec celui des violences faites aux enfants. Nous ne pouvons dichotomiser ces deux combats indéniablement liés. Linda UZAN: Conseillère régionale d’IDF, Conseillère municipale de Sarcelles.
Les violences faites aux femmes, les violences faites aux enfants … et les violences faites aux hommes ? elles sont certes rares mais pas inexistantes ! il faut traiter le problème dans son ensemble : « les violences aux foyer »
La victimisation systématique des femmes ne rend pas service à l’égalité qu’elles souhaitent, d’autre part depuis plus de dix ans des mesures sont prises et sont, si on en croit les statistiques publiées ineffiaces,il serait judicieux de comprendre pourquoi .
Si les statistiques sur les violences conjugales montrent que du fait de leur supériorité physique les hommes sont plus souvent que les femmes des boureaux ( ce qui n’exclu pas que des femmes soient aussi des boureaux) il ne faut pas négliger les statistiques du suicide qui touchent plus les hommes que les femmes, la cause en étant souvent la pression de la vie conjugale exercée par le conjoint.
99, 8% des hommes vivants en couple ne sont pas violents, et sont des pères respectueux de l’intérêt supérieur de l’enfant.
Il faut dire non à la violence dans le couple, qu’elle que soit le sexe de celui qui l’a subi.