Etre senior et au chômage n’est pas une fatalité. C’est ce que prouve la l’association des cadres multi-employeurs… Autour d’un speednetworking, elle pousse ses membres, pour la plupart de plus de 40 ans, à développer le concept du travail en temps partagé en sollicitant un emploi à temps partiel auprès de jeunes entreprises. Le reportage de VOtv.
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Très bonne initiative ! Face à l’allongement des cotisations, l’Etat et les collectivités locales se doivent de trouver de réelles solutions pour l’emploi de nos séniors. Le temps partiel est une première étape, mais il ne doit pas masquer la réalité des chiffres. Comment est-il possible que des séniors, représentant la plupart du temps la mémoire des sociétés, se font-ils lâchement abandonnés par leur entreprise, pour laquelle ils ont donné des années de sueur, de temps et d’énergie et sont remerciés de la sorte ? C’est impensable… Mais c’est révélateur de notre époque.
(03A343A01). VOILA UN TRÈS BON REPORTAGE ! Je suis sidéré de ne voir aucun commentaire sur un sujet aussi prégnant dans l’actualité de l’emploi des seniors ! À croire que les personnes concernées sont finalement satisfaites de leur situation de chômeur, eût égard aux indemnités de chômage par rapport aux salaires des emplois partagés, nécessitant de plus en plus de (TAO) : Travail Assisté par Ordinateur ; travaux pour lesquels bon nombre de seniors n’ont ni expérience et ni compétence, y compris et peut-être surtout les cadres. Il faut quand même nuancer les propos des futurs employeurs quant aux expériences et compétences supposées acquises et entrant dans le cadre des (TAO). Il faut se rendre à l’évidence que pour le plus grand nombre de seniors, il ne faut pas confondre les «routines» avec l’acquisition d’expériences et de compétences dans les nouvelles technologies. Cet éclairage permet d’imaginer assez facilement, que les salaires proposés pour ces emplois partagés, sont très éloignés des salaires des cadres au chômage.