Si pour le moment le lycée Gustave Monod n’a pas d’engagement sur une mise à disposition de fonds pour la rénovation de ses bâtiments, les budgets de la région alloués aux travaux de la demi-pension ont été confirmés. Problème, dans le projet des architectes, une citerne de récupération d’eau se trouve à quelques centimètres du gisement hydrothermal. Si lors de l’installation de cette citerne les pelleteuses perforent l’arrivée de l’eau sulfurée, l’établissement pourrait être contraint à fermer de nouveau. Le maire ne veut pas prendre ce risque et a sollicité un expert. Voir l’interview de Philippe Sueur.

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