Directeur Général de l’Hôtel Pullman à Bordeaux, il prendra ses fonctions à Enghien le 2 mars.
Diplômé d’un BTS Hôtellerie et Restauration, Jean-Louis GOUBE a débuté sa carrière à l’international où il a occupé différentes fonctions à responsabilité et notamment celle de F&B Manager de l’Hôtel Bristol à Varsovie, avant d’intégrer le Groupe Accor en qualité de Résident Manager du Novotel Kangnam à Séoul, puis de Directeur Général de l’Hôtel Pullman à Bordeaux, poste qu’il occupait depuis 1999 jusqu’à ce jour et qu’il gèrait dans le cadre d’une franchise Accor pour le Groupe Lucien Barrière depuis 2004.
Jacques HORRENT, quant à lui, a rejoint la station de Deauville en qualité de Directeur Général de l’Hôtel du Golf Barrière de Deauville ainsi que des Golfs Barrière de Deauville et de Saint Julien.
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Valdoisiens, Valdoisennes, debout !
Cette nomination montre clairement les limites atteintes par notre modèle de « développement », qui est, simultanément, le facteur fondateur de la dite « crise ».
Le groupe Barrière nomme une personne qui semble compétente à la tête d’un complexe hôtelier dont la notoriété repose sur celle d’Enghien-Les-Bains : soins, sports et spa, n’est-ce pas ?
Sauf que, cet hyper compétent des supers hôtels étoilés et luxueux ne pourra rien contre la pollution des eaux qui rend les thermes inexploitables. L’absence de législation pollueur = payeur ne lui permettra pas de compenser les pertes de chance et celles du retour sur investissement de son formidable (et très coûteux) équipement.
La clientèle visée est aussi le principal soutien politique de ceux qui ont laissé le champ captant d’Enghien s’imprégner de nitrates, de pesticides, de métaux lourds, de biocides non biodégradables et qu’on ne sait pas extraire suffisamment car ce sont des poisons dès le pico gramme : millième de milliardième de gramme !
La clientèle visée ainsi que les actionnaires mobilisés ont été depuis près de cinquante ans les soutiens d’une agriculture productiviste, dévastatrice des territoires, des ressources en eau, ignorante du cadeau que ses intrants faisaient aux générations futures.
Cet hyper compétent de ce super équipement ne pourra que constater une évidence : même les plus riches dépendent de la biosphère où survivent les plus pauvres, ils partagent (hélas ?) les mêmes sols, la même atmosphère, la même eau. A un détail près :
« Quand les gros maigrissent, les maigres meurent » …
Valdoisiens, Valdoisiennes, à vos sources !