Philosophe et auteure de pièces de théâtre, Arsinoé Duponchel a grandi et étudié à Cergy. Enfant, elle a eu un coup de foudre pour Maxime Piolot, le « chanteur de Bretagne », et aujourd’hui, elle lui rend un superbe hommage en lui dédiant son livre « Maxime Piolot : comprendre pour aimer ».
Arsinoé Duponchel, « la petite rouge »,
Maxime Piolot, « la grande bleue »
Elle croit en lui précisément
Il croit en tous les êtres humains
Elle parle d’un enchantement certain, celui de l’avoir rencontré lui, l’amoureux de la vie
Il parle d’un certain retournement qu’il résume ainsi : « Faire une perle avec une larme »
On dit d’elle qu’elle est une passionnée
On dit de lui qu’il est un sage
Elle a 24 ans
Il en a 70
Ils se sont trouvés, ne se sont plus lâchés, se sont racontés, puis éclairés
Il a placé en elle sa plus tendre confiance
Elle l’a reçue en plein cœur et il n’a pas été déçu
À votre tour, entrez dans la confidence, car l’art en est une, et ce livre s’approche de l’œuvre d’art. Il est fait de petites touches colorées, qu’il fait bon découvrir une à une, pour mieux s’en délecter, sans pour autant oublier de tourner les pages…
Présentation du livre par l’auteur
Maxime Piolot est un poète. Un chanteur. Un écrivain. Un homme dont les mots vous surprennent, vous interrogent, et ne vous laissent jamais indifférent. Un troubadour aux cheveux blancs qui se promène depuis plus de quarante-cinq ans en Bretagne pour y donner des concerts, stages et conférences, mais surtout pour rencontrer les gens. Pour partager une histoire, le temps d’un instant. Autour d’un café, au détour d’un chemin. On le voit arriver avec sa démarche d’éternel adolescent, quelques vers aux lèvres et des étoiles dans les yeux. On dit de lui que c’est un sage.
Moi, je ne sais pas.
À vrai dire, je l’ai rencontré par hasard.
J’aimais juste ses concerts.
Mais, j’ai envie de vous raconter. De vous raconter cet homme, son sourire d’enfant, son engagement auprès des écoliers et des vieillards, parce que, dit-il, la poésie peut changer le monde. Et de vous raconter comment, en l’espace de quelques rencontres, il a changé ma vie.
« Lorsque j’ai dit à Maxime Piolot que j’avais fait paraître un livre inspiré de sa personne, il m’a répondu qu’il n’avait pas forcément besoin de le lire, car il me faisait confiance pour parler de lui en bien. Je ne sais pas si le résultat est atteint, mais aux dernières nouvelles il a lu mon livre, et l’histoire lui plaît beaucoup… C’est assez touchant. » Arsinoé Duponchel
Extraits choisis :
« J’aime l’argent, mais pas pour moi. Moi, j’en ai suffisamment et je pourrais m’en passer. Mais il me permet de faire vivre mes musiciens, il les rend heureux. J’aime l’argent quand il me permet de rendre heureux les autres. »
« Un jour, me disait Maxime, j’ai chanté dans un asile psychiatrique. »
Je retenais ma respiration. Je n’aimais pas ce genre d’endroits.
« …et pendant que je chantais, ils penchaient la tête. Ils se balançaient. La musique devait les calmer…
Tu y crois, à ça, toi ? »
– Oui.
– Ah, tu y crois ! Tu y crois.
Silence.
Je le voyais réfléchir. Dans ces moments-là, il avait toujours l’air plus ou moins exalté. Je le sentais prêt à me serrer dans ses bras. Puis tout retombait d’un seul coup et il s’absorbait dans ses pensées.
« …Ils étaient très silencieux durant ce concert, très silencieux… Je leur avais chanté une chanson que j’aime bien… »
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