Lancé dans le cadre du plan « Espoir banlieues », le contrat d’autonomie fête bientôt ses 3 ans d’existence. Destiné aux 16-25 ans habitants les zones urbaines sensibles et d’un niveau inférieur au bac, ce dispositif d’insertion professionnelle présente un bilan mitigé car il coûte cher à l’Etat. Si à son démarrage 35 départements y participaient, ils ne sont plus que 14 aujourd’hui. Dans le Val d’Oise, le prestataire privé USG Restart a tout de même placé environ 45% des jeunes venus frapper à sa porte. VOtv s’est rendue à l’antenne de Sarcelles pour voir son fonctionnement. Reportage.

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