Les caméras dans les rues du Val-d’Oise, ce n’est plus anecdotique. D’Enghien-les-Bains à Argenteuil en passant par Soisy-sous-Montmorency et bientôt Cergy et Sarcelles, la vidéosurveillance s’installe et se fait oublier. Les barrières idéologiques tombent, l’implantation de caméras ne suscite quasiment plus d’opposition. On en trouve aujourd’hui dans des villes de droite comme de gauche. Dernière commune en date à déployer son dispositif : Cormeilles-en-Parisis. Regardez le reportage.
http://www.dailymotion.com/embed/video/xc6u9g
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La vidéosurveillance fonctionne très bien sur Argenteuil, ce nouveau systéme s’appelle Doucet.
Il est opérationnel top niveau en Mairie,les personnels en connaissent hélas les effets….
Pour les Argenteuillais le systéme est plus pernicieux, il se présente sous forme de com à outrance, et couteuse basée sur le culte de la personnalité, pour une surveillance et une manipulation de notre cerveau… c’est d’ailleurs l’effet inverse qui se produit tellement le rejet est fort, le réflexe poubelles fonctionne lui très bien…
Le vrai débat s’agissant de la sécurité dans le Val D’Oise, ce n’est pas la vidéo surveillance ou protection , qui coute cher en installation, et en fonctionnement, ( plus de 7 millions d’euros d’investissement, 80 000 € par an de fonctionnement) sans résultat vraiment mesuré (s VIVRE auf l’augmentation du chiffre d’affaire des sociétés privée de « sécurité » , c’est d’introduire beaucoup plus de proximité, de dialogue, de mieux vivre, et d’humanisation dans les quartiers, ce que ne peut pas faire une machine.
http://sannoisdemocrate.blogspot.com/
Il ne suffit pas d’installer des caméras financées avec le concours du conseil general (ancienne majorité)!! il faut du personnel derriere les écrans et là c’est une autre histoire.
Une réelle volonté est necessaire et à Argenteuil ce n’est pas le cas!!!!
A Londres, qui compte une caméra pour 15 habitants, ce flicage vidéo n’a pas empêché les attentats de 2005. A Miami et Atlantic City, les municipalités sont en train de démanteler leur dispositif, coûteux et inefficace.
Sommes-nous condamnés à faire systématiquement les âneries des anglo-saxons vingt ans plus tard, qui plus est au moment même ou ils réalisent leurs erreurs?