"Comment boucler un budget alors que nul ne sait si les compétences qui sont aujourd’hui les nôtres le seront encore demain ? Comment inscrire au budget 2010 des politiques d’investissement à moyen et long terme quand nul au gouvernement n’est capable de nous dire, au jour d’aujourd’hui, ce qui remplacera la taxe professionnelle en 2011 ?", interroge le président PS du Conseil général du Val-d’Oise pour justifier la décision de reporter le vote du budget en mars 2010.

"Je ne doute pas que l’ensemble des conseillers généraux valdoisiens, de droite comme de gauche, qui ont voté à l’unanimité, lors de la séance du 23 octobre dernier, une motion demandant le retrait pur et simple de ces deux textes, sauront traduire en actes politiques forts et clairs leur opposition à cette opération gouvernementale de casse des services publics de proximité", déclare Didier Arnal.