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Le personnel de l’entreprise américaine Nielsen, dont le siège social est basé à Cergy, a manifesté sur le parvis de la préfecture cet après-midi. En grève depuis mercredi, les salariés protestent contre la nouvelle vague de licenciements annoncée par le leader mondial des études marketing, la troisième en quatre ans, et qui toucheraient 250 des 600 salariés du Val d’Oise.
Plus d’une soixantaine de salariés de Nielsen France se sont retrouvés pour manifester devant la préfecture cet après-midi. Au total, 250 des 600 salariés basés à Cergy seraient concernés par des restructurations et autres licenciements. Une délégation a été reçue par le cabinet du préfet et s’est montrée satisfaite de l’entretien. Mais l’intersyndicale (CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT et CGT-FO) entend faire entendre ses revendications. « Nous voulons l’arrêt de toutes les procédures de licenciements, a déclaré Edith Chesney, déléguée syndicale CFE-CGC avant de poursuivre. Nous souhaitons que la priorité absolue soit portée sur le reclassement interne avec des formations de longue durée si nécessaire , sur la sauvegarde des clients, l’arrêt des délocalisations ou encore l’abandon de la méritocratie. »
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3 commentaires
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Une petite erreur dans l’article, c’est qu’il y a déjà eu 250 licenciements dans les vagues précédentes. La vague contestée en concerne tout de même un bonne quarantaine qui viennent s’ajouter à ce chiffre.
A quand un bouclier social en France ?
http://sannoisdemocrate.blogspot.com/
Valdoisiens, Valdoisiennes, debout !
Paradoxe : un spécialiste mondial des études de marché et des études de mise sur le marché ne peut pas prévoir le recul de son marché, de sa part sur son marché, ni même le retrait de son entreprise sur certaines portions de son marché et de sa part de ce marché.
Hypothèse : cela proviendrait-il de l’irruption du court terme financier aujourd’hui à trois mois, parfois un aller-retour en moins d’une seconde, dans le long terme des cycles de vie des produits et des services ?
Proposition : ces salariés, menacés ou non, peuvent-ils étudier et proposer des diversifications aval ou même des restructurations amont permettant de sauver leurs emplois en retrouvant des débouchés solvables ?
Contre proposition : et si cette proposition n’était pas agréée par le capital possédant les actions, les personnes menacées ne pourraient-elles pas, de plein droit, faire tomber toute clause de non concurrence et prospecter directement les clients perdus comme les clients en cours pour leur offrir à moins cher les mêmes services, allégés des frais généraux et des dividendes et rémunérations déguisées ou détournées de toute sorte ?
Suggestion : à qui emprunte l’entreprise ? A quel taux ? Où vont les intérêts ? Quelles sont les charges dites « in groupe » ? Sont-elles auditées de façon indépendante ? Correspondent-elles à un service réel ou réellement de cette valeur marchande ?
Espoir : l’argent achète l’intelligence, ce qui en prive de beaucoup les pauvres. Quand l’intelligence n’est plus achetée, peut-elle se mettre à défendre les pauvres, chez qui elle ne cessera plus de tomber ou retomber ?
Valdoisiens, Valdoisiennes, debout !