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La vague de violences qui sévit autour du lycée René Cassin de Gonesse n’est pas encore terminée. Mercredi après-midi, une professeure de mathématique a été aspergée de gel lacrymogène en plein cours. L’agresseur n’a pas encore été identifié.
Après les multiples actes de racket et de violences subis par des lycéens de l’établissement René Cassin de Gonesse depuis le début de l’année scolaire sur le chemin du lycée, c’est au tour d’une enseignante d’être victime d’une agression. Mercredi, aux alentours de 13h30, une prof de mathématique a reçu du gel lacrymogène sur la tête pendant son cours avec des Terminales. Dos à la porte d’entrée, elle n’a pu identifier son agresseur qui s’est tout de suite fait la belle. A l’heure actuelle, l’agresseur n’a toujours pas été retrouvé et l’on ne sait pas s’il fait parti ou non de l’établissement valdoisien.
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Et le pire, c’est que le gouvernement vient de se dégonfler sur la fouille des cartables!
Incroyable! Je peux me faire fouiller mon sac par le vigile de Leader Price, mais par contre les profs n’auront plus le droit de jeter un oeil dans les sacs de leurs élèves.
On croit rêver!
Lorsque j’étais prof au CNDP, il m’est arrivé plusieurs fois de vider un cartable au milieu de la classe, après avoir entendu une sonnerie de portable.
Je confisquait le portable et je disait au gamin : tu le récupèrera à la fin de l’année. Si tes parents ne sont pas contents, ils peuvent porter plainte, la police, c’est le 17.
Mais attention, dans ce cas, on leur rend leur chèque d’inscription, et coco, ce sera la porte pour toi et ce sera direction le collège public de ta ville. Alors réfléchissez bien.
On pourait faire la même chose dans les établissements publics, parce que l’on est pas sur la voie publique et que que l’on est dans le domaine contractuel : donnant-donnant.