Les syndicats CGT, SUD et FO se sont invités ce vendredi matin à la séance du Conseil Général du Val d’Oise consacrée au vote du budget. Ils redoutent une réorganisation des services qui se traduirait par des suppressions de postes dans le cadre du projet PACTE (Projet d’administration pour une collectivité territoriale efficace).
"On appelle les élus à ne pas voter un budget de destruction de nos services publics",
lance une représentante de la CGT qui vient d’obtenir du président du Conseil général une suspension de séance. Les syndicats de personnel, à l’exception de la CFDT, étaient présents. Ils redoutent des "suppressions de postes".
"Le président du Conseil général a dit qu’il y aura une baisse de la masse salariale au moment où l’on aurait besoin de davantage de moyens pour un service public de qualité", déclare Evelyne Gilibert, déléguée CGT.
Répondant aux syndicalistes, Arnaud Bazin (non inscrit) explique que "le Conseil général c’est presque 4000 employés. Nous avons du réintégrer les agents des routes et des collèges. Il est important que notre organisation évolue", explique le président du Conseil général qui doit recevoir prochainement les syndicats.
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2 commentaires
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droite ou gauche c’est pareil, il faut aussi regarder les noms des salariés des mairies et conseil généraux…. on y retrouve des familles entières et des encartés politiques….
ces gens sont les gardes suisses des élus, ces petits fonctionnaires comme le fut jadis aux temps des rois.
Mais c’est pour bientôt que tout cela va se terminé par :
la surprise des présidentielles (enfin) les gens en n’ont marre !
et l’attaque de la dette française par les fonds spéculatif qui n’arrangera rien à partir de lundi prochain va mettre les gens dans la rue, car nous sommes à une veille post révolutionnaire quoi que l’on dise !
Prenez l’exemple de cette ville de droite extrême:
en fouinant dans leur liste de salarié on constate que
la fille d’un tel est directrice de service
les deux enfants d’un autre sont responsable de service
qu’une autre est directrice
qu’un autre a mis son fils dans la société privé qui imprime les depliant e
que d’autres ont mis leur cousins cousines soeur ect…
au total sur 1000 salariés 400 sont le fait du roi : familles encartés ect
Tous le monde peu aller le vérifier !
« Il est important que notre organisation évolue »
Certes, mais est ce que l’Etat qui gérait avant ces effectifs « réintégrés » sur le budget départemental a versé la masse salariale correspondante à ses emplois?
Evolution du service public, ce n’est pas synonime de suppression d’emploi.