Les contrats de génération au point mort par vonews95
Pour augmenter le nombre de contrats de génération sur le Val d’Oise, l’heure est à l’explication de texte. Ce lundi 30 septembre le Préfet du Val-d’Oise exposera, avec le député maire PS de Gonesse, "les atouts de ce dispositif qui privilégie la pérénisation des savoir-faire au sein de l’entreprise et du territoire" à l’occasion de la signature des deux premiers contrats de génération de l’entreprise Magnum à Gonesse, société de location de matériel de sonorisation, d’éclairage et de distribution électrique pour tout type d’événements.
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(03A771A01). L’EXPLICATION ESSENTIELLE EST LA RÉVOLUTION NUMÉRIQUE !?
L’auteur de l’article écrit : «…comment expliquer que ce dispositif peine à décoller ?…». Relancer l’emploi laisse à penser que les donneurs d’ordre publics et privés ont déserté la région ! Pourquoi ? Tout simplement parce que les capacités de réponses ont elles-mêmes disparues ou se sont dégradées, les protagonistes n’ayant pas su ou voulu se renouveler et s’adapter aux exigences de compétitivité reliant L’EMPLOI, LE TRAVAIL et LE SALAIRE, rendue incontournable de par l’évolution et la concurrence de toutes les activités, générées par LA RÉVOLUTION NUMÉRIQUE. Il y a tellement à commenter sur les causes et les effets, que je ne sais par quel bout je peux amorcer mon commentaire et surtout où le limiter.
Peut-être que de le commencer par l’analyse des besoins, des causes et des effets serait un bon début … alors allons-y … en espérant être juste et ne pas ennuyer le lecteur. Il est évident que les crises financières, économiques et sociales seraient de toute façon arrivées car l’informatisation, la numérisation, l’automatisation, la mécatronisation, etc. … ont pondu leurs œufs dans des millions de société qui aujourd’hui sont arrivés à éclosion, provoquant cet immense tsunami qu’est le chômage.
Ne vous bercé pas d’illusions ! L’avenir ne peut pas ressembler au passé, ni dans la forme et ni dans le fonds. Il faut que tout change pour que rien ne change disait LAMPÉDUSA. Personnellement j’ajoute : Le passé est à la mémoire ce que le présent est au futur : Un trait d’union. Si l’on ne refond pas radicalement nos manière de penser et de fonctionner, les mêmes causes produiront les mêmes effets et en particulier, celles attachées aux routines, souvent confondues avec l’expérience, lesquelles routines sont le véritable cancer de l’emploi et du travail.
SOMMAIRE.
(A). La relance de l’emploi doit-t-elle passer par la répartition du travail entre les jeunes et les anciens !?
(B). Le travail pour tous ne se partage pas ; il se répartit et se rémunère équitablement en fonction des capacités de chacun, des marchés et des capacités d’emplois des employeurs.
(C). La répartition du travail nécessite d’être progressive, équitable et efficace.
(D). On ne peut mettre un litre et demi dans un litre !
(E). Dans la compétition mondiale d’aujourd’hui, c’est la qualification, l’innovation, la connaissance et le renouvellement, qui sont les atouts majeurs de la croissance.
(F). Nous avons bâti un système ou la promotion, le pouvoir, les privilèges et l’argent, s’acquièrent à l’ancienneté.
(G). Tous et toutes, veulent plus et mieux «pour eux-mêmes» mais peu sont et seront capables de faire plus et mieux «par eux-mêmes».
(H). Nos performances progressent et régressent.
(I). La promotion et le salaire à l’ancienneté sont inéquitables, inefficaces et injustes.
(J). La majorité des anciens ne s’adaptent pas !
(K). Le monde change très vite ; bien faire son travail ne suffit plus.
(L). La mobilité choisie ou la mobilité forcée ?
(M). Cette situation est vécue dramatiquement par les anciens.
(N). Le travail est-il l’antidote à la vieillesse ?
(O). Il est urgent de prendre en compte les besoins de capitalisation des retraites futures pour les générations montantes.
(P). Solidarité, équité et réciprocité.
(Q). Aujourd’hui, le «travailleur humain» le moins cher est encore plus cher que le «travailleur numérique (ou (TAO) : Travail Assisté par Ordinateur) capable de le remplacer.
(R). Beaucoup d’emplois pouvaient se remplacer en moins de quarante-huit heures.
(S). L’inversion du système permettrait une Économie plus fiable.
(T). L’entreprise ne peut pas, ne doit pas se priver de créateurs, d’entrepreneurs et d’innovateurs.
(U). Le défi futur est d’ors et déjà l’organisation mondiale des besoins de milliards de personnes dans le monde.
DÉVELOPPEMENT.
(A). LA RELANCE DE L’EMPLOI DOIT-T-ELLE PASSER PAR LA RÉPARTITION DU TRAVAIL ENTRE LES JEUNES ET LES ANCIENS !?
Travailler plus pour gagner plus selon ses besoins pour un jeune, ne s’oppose pas avec travailler moins pour aller plus loin selon ses besoins, pour un ancien. La philosophie du «partage du travail» peut laisser croire et accroire que la mise à la retraite anticipée serait le plus sûr moyen de faire de la place aux jeunes. Pourtant dans le même temps le chômage des jeunes n’a jamais cessé d’augmenter ! Les seniors prolongeant leur activité non seulement ne perçoivent pas de pension, mais ils demeurent des cotisants, et leurs cotisations vont grossir les ressources aujourd’hui insuffisantes. MAIS CELA NE PEUT SUFFIRE. Travailler plus selon ses besoins pour gagner plus quand on est jeune n’a de sens, que si les anciens acceptent d’être équitables, donc de travailler moins pour aller plus loin selon leurs besoins ce qui a pour conséquence de renégocier leur emploi et leur salaire par un «contrat de seconde carrière».
(B). LE TRAVAIL POUR TOUS NE SE PARTAGE PAS ; IL SE RÉPARTIT ET SE RÉMUNÈRE ÉQUITABLEMENT EN FONCTION DES CAPACITÉS DE CHACUN, DES MARCHÉS ET DES CAPACITÉS D’EMPLOIS DES EMPLOYEURS.
Les processus de perception, raisonnement, jugement, évaluation, consolidation, adaptation de nos convictions, ambitions, inclinations, impulsions, émotions, appétits, envies, désirs et besoins sont et seront constamment assujettis au questionnement de QUINTILIEN (QQOQCCP) : Quoi ? Qui ? Où ? Quand ? Comment ? Combien ? Pourquoi ? Du berceau à la tombe. Notre capital naturel (l’inné), est et sera déterminant pour Vouloir, savoir et pouvoir apprendre et comprendre. Nos capacités, ressources et aptitudes réelles ou différées (financières, matérielles, temporelles, physiques, manuelles, intellectuelles, naturelles et culturelles, cultuelles, etc. …) sont et seront sans cesse à évaluer, à consolider, à adapter, à répartir et à ajuster, à partir du principe fondamental de libre nécessité, libre choix et libre arbitre.
(C). LA RÉPARTITION DU TRAVAIL NÉCESSITE D’ÊTRE PROGRESSIVE, ÉQUITABLE ET EFFICACE.
On pourrait ne raisonner qu’à partir de ce qui nous concerne et n’avoir aucune préoccupation pour autrui ! Seulement voilà, notre liberté s’arrête là ou celle de l’autre commence. À partir de dispositifs permettant une libre acquisition, y compris et surtout les connaissances et témoignages des personnes qui nous ont précédés, chacun devrait pouvoir trouver à l’écoute de l’autre, les capacités, ressources et aptitudes réelles ou différées nécessaires et suffisantes au déroulement d’une vie bonne pour soi avec le monde pour tous, pendant sa propre existence.
(D). ON NE PEUT METTRE UN LITRE ET DEMI DANS UN LITRE !
La mesure de nos capacités, ressources et aptitudes réelles ou différées, est fondamentale. Bien des controverses pourraient être évitées si l’on admettait l’inutilité des surplus d’enseignement ou d’expériences dans la transmission des savoirs et savoir-faire. On devrait sélectionner les connaissances à transmettre, de façon équitable, progressive, efficace, par des moyens raisonnables et humains, en fonction des capacités, ressources et aptitudes des personnes. PROGRESSIVITÉ, ÉQUITÉ et EFFICACITÉ devraient être les moteurs de perception, raisonnement et jugement pour l’évaluation, la consolidation, l’adaptation et la répartition de nos connaissances, expériences et compétences pour satisfaire nos convictions, ambitions, inclinations, impulsions, émotions, appétits, envies, désirs, besoins, tout au long de notre existence.
(E). DANS LA COMPÉTITION MONDIALE D’AUJOURD’HUI, C’EST LA QUALIFICATION, L’INNOVATION, LA CONNAISSANCE ET LE RENOUVELLEMENT, QUI SONT LES ATOUTS MAJEURS DE LA CROISSANCE.
Le renouvellement des personnes, des sciences, des techniques, des technologies et des méthodologies, nécessite une répartition, perception, raisonnement, jugement, acquisition, évaluation, consolidation et adaptation permanente des connaissances et compétences des personnes. Dans la compétition mondiale d’aujourd’hui, toute crise doit être une opportunité pour la croissance avec trois axes :
1). L’innovation constante et sans cesse renouvelée des techniques, technologies et méthodologies ainsi que l’acquisition de compétences pour la création de produits, procédés, procédures et services.
2). La formation, l’acquisition et la qualification continue des personnes aux niveaux : Savoir, faire, savoir-faire pour le faire savoir.
3). Le développement durable.
(F). NOUS AVONS BÂTI UN SYSTÈME OU LA PROMOTION, LE POUVOIR, LES PRIVILÈGES ET L’ARGENT, S’ACQUIÈRENT À L’ANCIENNETÉ.
Nos convictions, ambitions, inclinations, impulsions, émotions, appétits, envies, désirs, besoins, potentialités, capacités, ressources et aptitudes réelles ou différées (financières, matérielles, temporelles, physiques, manuelles, intellectuelles, naturelles et culturelles, cultuelles, etc. …), changent tout au long de notre existence. Il est curieux de constater que notre société n’a pas pris en compte l’anticipation de l’inexorable transformation pour ne pas dire la «régression des capacités» pour le plus grand nombre de personnes.
(G). TOUS ET TOUTES, VEULENT PLUS ET MIEUX «POUR EUX-MÊMES» MAIS PEU SONT ET SERONT CAPABLES DE FAIRE PLUS ET MIEUX «PAR EUX-MÊMES».
Il me semble que si nous évaluions régulièrement nos capacités de travail en rapport avec les critères précités, nous admettrions devoir acquérir de moins en moins et nous délester et déléguer de plus en plus, au profit des générations montantes, au fur et à mesure de notre «APPROCHE VERS LA RETRAITE». Travailler plus pour gagner plus pour les jeunes n’a de sens que si les anciens acceptent de travailler moins (en quantité) mais aussi de gagner moins pour aller plus loin. Pour équilibrer ce raisonnement, il faut que le coût du travail qui en résulte reste inchangé pour les entreprises.
(H). NOS PERFORMANCES PROGRESSENT ET RÉGRESSENT.
Il me semble que nous aurions tous et tout à gagner, à anticiper et accepter périodiquement de changer plusieurs fois de postes, d’emplois voire de métier, à l’intérieur ou à l’extérieur d’une chaine d’activités. Les fonctionnaires, pour exemple, pourraient changer de postes, de métier, d’administration, pour terminer raisonnablement leur carrière jusqu’à 60 ans ou 65 ans et plus. Cela éviterait des retraites anticipées, l’empilage de privilèges, le paiement de retraites à 50 ans ou 55 ans, dans des régimes spéciaux, sous divers prétextes tels que pour exemple : Refus de mobilité, pénibilité objective et subjective, petits salaires pendant la période active, etc. … !
(I). LA PROMOTION ET LE SALAIRE À L’ANCIENNETÉ SONT INÉQUITABLES, INEFFICACES ET INJUSTES.
L’évaluation, notation et tests de compétences et performances actualisées et renouvelées, devraient être de nature à justifier les rémunérations au mérite. Les écarts de promotion et de salaire sont considérables entre les personnes jeunes et les anciens qui font le même métier, dans les mêmes conditions de travail mais pas au même salaire. Le salaire et la promotion à l’ancienneté ne présentent que des inconvénients. Ils encouragent les entreprises à pousser les anciens à la retraite le plus tôt possible. Il faut réduire l’iniquité entre les anciens et les jeunes. La régression des performances, la trop longue durée des routines d’activités, l’obsolescence des compétences, l’absence de renouvellement des connaissances, produisent des HÉROS FATIGUÉS. On peut raisonnablement imaginer le transfert d’emplois des personnes à fortes performances en début de carrière, vers des postes nécessitant moins d’acquisition, d’actualisation, de mise à niveau des compétences et performances en fin de carrière !
(J). LA MAJORITÉ DES ANCIENS NE S’ADAPTENT PAS !
Ils sont «virés» parce qu’ils coûtent beaucoup trop cher. Les jeunes confrontent leurs connaissances, compétences, performances et dynamisme avec les anciens. Cela génère de la rivalité, de l’adversité, de l’agressivité, de l’affrontement et du rejet ! Les arguments des anciens justifiant leurs salaires voire leurs rentes de situation se paupérisent. L’ancien n’est plus dans l’acquisition pour lui ; il est dans la transmission pour l’autre, «POUR TANT QUE CE QU’IL A TRANSMETTRE SOIT ENCORE D’ACTUALITÉ». Je n’ai pas oublié les longues années où j’ai pesté contre les rentes de situation des anciens qui eux-mêmes s’étaient épuisés à attendre leur tour. J’avais un besoin crucial de mieux gagner ma vie pendant que j’étais jeune et potentiellement performant pour assumer mes charges familiales. Je travaillais 50h à 55h/semaine ! Je suivais des cours en dehors de mes heures de travail ! Il fallait laisser passer le rouleau compresseur et destructeur de la promotion et du salaire à l’ancienneté !
(K). LE MONDE CHANGE TRÈS VITE ; BIEN FAIRE SON TRAVAIL NE SUFFIT PLUS.
Il est économiquement, financièrement et socialement parlant, de notre intérêt pour tous de changer notre façon de penser et de fonctionner. Aujourd’hui, l’expérience individuelle des anciens est souvent confondue avec la routine de leurs activités. L’innovation, la diversité, les besoins sont tels que le temps d’apprendre et comprendre une chose, elle est déjà chevauchée voire dépassée par la prochaine.
(L). LA MOBILITÉ CHOISIE OU LA MOBILITÉ FORCÉE ?
Les actifs devraient anticiper leurs formations, aménagements et adaptations PENDANT leur temps d’activité. Le renouvellement des personnes et des postes en serait facilité. De plus, le (TAO) : Travail Assisté par Ordinateur, remplace les «travailleurs humains». Le (TAO) fonctionne jours et nuit avec très peu de personnel. Cela explique en partie, les tsunamis de réduction des emplois de «travailleurs humains».
(M). CETTE SITUATION EST VÉCUE DRAMATIQUEMENT PAR LES ANCIENS.
La mobilité forcée génère le stress, l’affrontement et le refus. Les personnes concernées prennent conscience que leur autorité, pouvoir et responsabilité ne sont plus en rapport avec leurs rentes de situation. Elles deviennent sceptiques, méfiantes et suspicieuses sur toute proposition de répartition, d’évaluation, de consolidation, d’adaptation de leurs connaissances, performances et compétences. Elles plongent dans la dépression. Elles n’acceptent pas leur régression.
(N). LE TRAVAIL EST-IL L’ANTIDOTE À LA VIEILLESSE ?
Oui si l’on applique l’adage de RACINE : «Qui veut aller loin ménage sa monture» ! La moyenne de vie en bonne santé est aujourd’hui augmentée de 10 à 15 ans ! Depuis 1936, progressivement, les Français vivent en moyenne 20 ans de plus et travaillent 15 ans de moins. Ces 35 années de loisirs supplémentaires ont un lourd coût en termes de croissance et ne correspondent pas nécessairement aux aspirations de chacun ; pour en faire quoi ? Pour les placer ou ? En réalité, la question est simplement démographique. L’âge de la retraite doit suivre la ligne d’évolution de l’espérance de vie. Interdire à ceux qui le souhaitent de poursuivre une activité qui leur apporte un confort physique et ou intellectuel, serait un crime contre la société toute entière. Comment vont faire les jeunes s’ils doivent, et pour plus longtemps continuer d’alimenter, à la fois, les fonds de répartition des versements de retraites des anciens à la retraite et la capitalisation de leurs futures retraites, à partir de leurs revenus ?
(O). IL EST URGENT DE PRENDRE EN COMPTE LES BESOINS DE CAPITALISATION DES RETRAITES FUTURES POUR LES GÉNÉRATIONS MONTANTES.
Est-il raisonnable, économiquement et socialement parlant, de proposer aux anciens de travailler plus et longtemps à des salaires élevés, alors même que leurs emplois peuvent être largement occupés par des jeunes potentiellement performants, volontaires, compétents, mais bien moins payés qu’eux ? Ce concept n’a de sens que si les anciens acceptent la notion d’équité, c’est-à-dire des emplois de seconde carrière (par exemple à partir de 50 ans) adaptés à leurs capacités, ressources et aptitudes réelles ou différées (financières, matérielles, temporelles, physiques, manuelles, intellectuelles, naturelles et culturelles, cultuelles, etc. …) du moment.
(P). SOLIDARITÉ, ÉQUITÉ ET RÉCIPROCITÉ.
Les anciens resteront toujours attachés à leurs sièges et à leurs privilèges, tant que l’on n’aura pas inversé notre système de penser au niveau progressivité, équité et efficacité. Au début de son existence professionnelle, gagnant beaucoup moins qu’un ancien (souvent pour le même travail), un jeune cherchera à s’attacher des privilèges qu’il défendra bec et ongles dès qu’ils seront contestés par les générations montantes qui voudront le remplacer, que cela soit juste ou pas !
(Q). AUJOURD’HUI, LE «TRAVAILLEUR HUMAIN» LE MOINS CHER EST ENCORE PLUS CHER QUE LE «TRAVAILLEUR NUMÉRIQUE (OU (TAO) : TRAVAIL ASSISTÉ PAR ORDINATEUR) CAPABLE DE LE REMPLACER.
Bien exécuter son travail n’est plus suffisant. Le monde des enseignants produit des armées de petits soldats dont on ne sait pas à quels combats économiques, ils vont pouvoir participer. Avant, le travail allait de soi pour le plus grand nombre. Beaucoup de tâches itératives trouvaient preneurs … mais aujourd’hui, les robots sont dans la place !
(R). BEAUCOUP D’EMPLOIS POUVAIENT SE REMPLACER EN MOINS DE QUARANTE-HUIT HEURES.
Ces tâches n’étaient pas en concurrence avec les moyens mécaniques, automatiques, informatiques, bureautiques, robotiques, numérique, mécatronique, etc. … Aujourd’hui, le système fabrique de nouvelles catégories d’handicapés : Les sans diplôme et chômeurs de 18 à 25 ans ; les chômeurs et travailleurs précaires de 25 à 50 ans ; les anciens «virés» à partir de 50 ans !
(S). L’INVERSION DU SYSTÈME PERMETTRAIT UNE ÉCONOMIE PLUS FIABLE.
Les jeunes pourraient assumer leur désir d’entreprendre. Leurs capacités, ressources et aptitudes réelles ou différées (financières, matérielles, temporelles, physiques, manuelles, intellectuelles, naturelles et culturelles, cultuelles, etc. …) au prorata de leurs compétitivité, concurrence et performances, leurs permettraient librement, de choisir et répartir leurs engagements, placement, investissements, consommation, capitalisation. L’entreprise pourrait s’engager à prolonger le temps d’activité des anciens dans des emplois de seconde carrière, renégociés.
(T). L’ENTREPRISE NE PEUT PAS, NE DOIT PAS SE PRIVER DE CRÉATEURS, D’ENTREPRENEURS ET D’INNOVATEURS.
N’étant plus ou pas dans la performance, la création et l’innovation, les anciens devraient compenser, le moment venu, la diminution de leurs revenus économiques par l’utilisation de leurs investissements et placements financiers pendant leur temps d’activité. De ce principe découlerait la capacité pour l’entreprise de transférer les sommes, jusque-là affectées aux salaires et formations des anciens, sur les revenus et formations des jeunes. C’est regrettable mais fréquent : Quelques années avant le départ en retraite d’un salarié, son employeur est moins enclin à investir en lui et le salarié est moins motivé à apprendre des méthodes nouvelles, peut rentables pour les années qui lui reste à travailler :
1). Faut-il et peut-on être aussi performant à 20 … 50 ans … 60 ans, etc. …?
2). Faut-il craindre les adaptations, les changements en cours de route ?
3). Faut-il attendre d’être arrêté pour changer, s’adapter, se renouveler ?
4). Faut-il accepter de ralentir, pour aider les jeunes ?
5). Faut-il se délester pour aller plus loin?
6). Faut-il avoir les mêmes provisions au départ comme à l’arrivée ?
7). Faut-il être à la fois coureur et spectateur ?
(U). LE DÉFI FUTUR EST D’ORS ET DÉJÀ L’ORGANISATION MONDIALE DES BESOINS DE MILLIARDS DE PERSONNES DANS LE MONDE.
Nous devons nous investir sans cesse dans la recherche et le développement à court, moyen et long terme. Nous devons durablement, aider, accompagner, soutenir les pays en émergence ; les faire évoluer, avancer vers l’acquisition et la répartition de produits et services mais aussi de connaissances, expériences et compétences de façon progressive, équitable et efficace. Les milliards de personnes ne peuvent pas être toutes dans la recherche, l’innovation, la création. Compte tenu des lois du marché, de la balance commerciale, des pouvoirs d’acheter et de vendre, de la compétitivité, de la croissance et de la concurrence, nous n’avons rien à gagner à garder chez nous la production de produits et services sans valeur ajoutée vendable. Plutôt que de dépenser des milliards pour préserver l’emploi peu qualifié, il serait souhaitable de consacrer un peu plus d’argent pour qualifier les moins qualifiés, investir dans la recherche, l’enseignement, les équipements publics et privés, etc. …