Marc Sonnet annoncera officiellement sa candidature aux municipales de Sarcelles ce jeudi 23 mai. En 2014, le jeune candidat de 30 ans tentera de reprendre la ville, actuellement gérée par le député maire PS François Pupponi. En 2011, il avait notamment affronté l’ancien président PS du Conseil général du Val d’Oise, Didier Arnal, lors des élections cantonales.
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Si la déision de Monsieur Sonnet est a saluer…celle de l’UMP est a déplorer, face à une attitude qui consiste depuis des années a aider, a préserver tout d’abord Strauss KHAN et ensuite Pupponi !!! Pour queles raisons??!! S’en est trop ! Républicains de toutes tendances unissez vous pour libérer enfin Sarcelles et lui dessiner un avenir radieux auquel les habitants sont en droit de s’attendre à lhorizon 2014.
Pourquoi pupponi se représente aux municipales en 2014?? Mais que fait le parti socialiste? Pourquoi sacrifier notre ville?
No comment…..(source WIKIPEDIA)
Biographie [modifier]Longtemps inspecteur des impôts (catégorie A), devenu directeur divisionnaire des impôts en 2003 (arrêté ministériel du 4 avril 2003), François Pupponi entre au conseil municipal de Sarcelles lors de l’alternance de 1995, élu premier adjoint de Dominique Strauss-Kahn. Il lui succède à la tête de la mairie le 3 juin 1997 et devient conseiller général du canton de Sarcelles-Nord-Est l’année suivante.
Réélu au premier tour lors des municipales de 2001, avec 58,01 % des suffrages contre 21,86 % au RPR Jean-Claude Mestre[1], il poursuit la politique initiée par Dominique Strauss-Kahn, mettant en place le plan de rénovation urbaine du Grand-Ensemble, engageant la desserte de la ville par le tramway Saint-Denis – Garges-Sarcelles, et projetant la création de 2 500 emplois par la construction d’un nouveau centre commercial[2]. Outre une gestion autocratique, une partie de la gauche non socialiste[3] lui reproche un manque de politique sociale, notamment au sujet de la rénovation urbaine qui s’accompagne de hausses de charges locatives importantes tandis que la qualité des logements actuels se dégraderait[4], alors que la population est financièrement en difficulté. Ses opposants de l’UMP[5] et du Mouvement républicain et citoyen[6] lui reprochent également une gestion communautariste[7].
Le Parti socialiste l’investit pour l’élection législative partielle dans la huitième circonscription du Val-d’Oise en décembre 2007, organisée à la suite de la nomination de Dominique Strauss-Kahn à la présidence du FMI. Opposé principalement à Sylvie Noachovitch, avocate chroniqueuse sur TF1 investie par l’UMP, qui avait mis en ballotage défavorable Dominique Strauss-Kahn lors des législatives de juin 2007, il se présente comme élu de terrain et mise sur sa proximité avec le député sortant, auquel il a déjà succédé à la mairie de Sarcelles. Après les émeutes de novembre 2007 à Villiers-le-Bel, l’une des quatre communes composant la circonscription, il axe sa campagne sur la défense des banlieues, s’en proclamant le « porte-parole » contre le « sentiment d’injustice et de ghettoïsation » et appelant les électeurs à « voter pour battre la droite et faire barrage à Sarkozy »[5]. En tête au premier tour avec 38,33 % des votes, il est élu député avec 54,34 % contre 45,66 % pour sa rivale UMP, le 16 décembre dans une élection marquée par une forte abstention aux deux tours (74 % et 69 %)[8]. Il siège dans la commission de la Défense nationale et des Forces armées, il est vice-président du groupe d’études sur les vols de nuit et nuisances aéroportuaires, et membre des groupes d’études « Pauvreté, précarité et sans abri » et « Voies navigables et transports multimodaux ».
En mars 2008, il est réélu maire de Sarcelles au premier tour avec 68,83 % des suffrages, grâce à une alliance de premier tour avec la liste bleue, contre 17,24 % à l’UMP Patrick Toulmet et 9,1 % au MRC Rachid Adda[1]. En raison d’un cumul de trois mandats, il quitte l’Assemblée départementale en juillet 2008[9]. À la suite du 2e tour de l’élection cantonale partielle organisée dans le canton de Sarcelles-Nord-Est le 19 octobre 2008, il est remplacé au Conseil général par le socialiste Youri Mazou-Sacko[10].
En septembre 2011, il est signataire d’une lettre ouverte de parlementaires, demandant à Nicolas Sarkozy de s’opposer, au nom de la France, à la reconnaissance de l’État de Palestine le 23 septembre 2011 aux Nations-Unies.
En juillet, le juge Serge Tournaire, qui instruit le dossier du cercle de jeu parisien Wagram pour « blanchiment d’argent » et « extorsion », décide de placer le député du Val-d’Oise sur écoute, mis en cause par un de ses employés municipaux pour subornation de témoin dans l’affaire du cercle Wagram[11]. Le Président de l’Assemblée Nationale en a été informé comme le dispose l’article 100-7 du code de procédure pénale[12].
Il est investi par le Parti Socialiste sur la 8ème circonscription du Val d’Oise, dont il est le député sortant, aux élections législatives de 2012 avec Hussein Mokhtari, conseiller général du Val d’Oise et conseiller municipal de Garges-les-Gonesse, comme suppléant.