Georges Courteline et Elie de Bassan se sont inspirés de situations quotidiennes pour écrire de courtes pièces, tranches de vie réalistes et comiques, jouées les 19 et 20 janvier à L’Antarès.

Un doigt de Madère

 

1900 : la Belle époque, celle de la petite bourgeoisie, des bonnes, des employés au Ministère, des habitués des cafés parisiens, des adeptes du Grand-Guignol, théâtre du rire et de la peur.

 

Les personnages de Georges Courteline et Elie de Bassan sont tous pieds et poings liés à leurs habitudes et à leurs travers. Ridicules ou pathétiques, austères ou inquiétants, ils provoquent de grands rires avec de petites choses.