Assurément imprégnée de philosophie et de spiritualité, Carolyn Carlson compose une ode à la Terre, joyeuse et plus sombre, chant d’amour aussi bien que cri d’alerte, le 25 mars à L’apostrophe – Théâtre des Arts.
Plongées dans un poème visuel ciselé par la lumière, les consciences sont invitées à s’éveiller sur les dangers qui épuisent peu à peu notre planète.
Accompagnés d’Elyx, petit personnage dessiné, trois danseurs sèment les graines de l’espoir, celles qui permettent aux idées nouvelles de germer et à l’avenir de se dessiner.
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