Un grand morceau de ciel suspendu aux cintres, un précipité de forêt enfermé dans un vivarium… et c’est tout un paysage qui accueille cette « histoire du chagrin, qui tel un grand marécage se répand et inonde sans bruit l’existence », les 17 et 18 mars à L’apostrophe – Théâtre des Louvrais.

© Jean-Louis Fernandez

© Jean-Louis Fernandez

Avec l’intelligence de la bricole et le sens de l’absurde poétique qui les caractérisent, Jeanne Candel et Samuel Achache s’attaquent cette fois-ci – après les amours torturées de Didon et Enée dans Le Crocodile trompeur / Didon et Enée en 2015 à L’apostrophe – à la descente solitaire d’Orphée aux confins du monde.

À partir de la musique et du livret de Monteverdi, ils voguent vers d’autres horizons, mêlant musique ancienne et jazz improvisé, matière brute de l’opéra et matériaux multiples.

Rencontre avec l’équipe artistique à l’issue de la représentation du 17 mars

Stage avec une comédienne de l’équipe « Théâtre & percussions » du 10 au 12 mars