Avec « Montréal est en cendres », Marcie aligne les mots avec une limpidité harmonieuse et une insouciance nouvelle,  le 14 octobre au Caméléon de Pontoise.

Marcie

Marcie est une jeune auteure-compositrice-interprète francophone. Établie à Montréal, elle puise ses inspirations à la fois dans les effervescences perpétuelles de sa ville d’adoption et les immuables grandeurs du petit Nord québécois, dont elle est originaire.

Ses chansons explorent avec poésie les inévitables dualités qui dictent les mouvements du cœur où, tout comme les frénésies urbaines et les douceurs contemplatives du territoire, se fréquentent avec passion l’amour et la solitude ; la musique et le silence ; la beauté et ses travers…

Sa voix, douce et juste, sait se aussi faire puissante sans perdre de sa chaleur.

Son premier album homonyme (2013) lui a ouvert les portes de nombreux territoires québécois et européens.

Ce nouvel opus présente 4 chansons qui se posent avec finesse, annonçant la richesse d’un futur album à paraître en 2017.

 

L’EP

Track #1

Montréal est en cendres. Il y eut le feu, puis plus rien. Montréal était triste et grise, comme toutes les villes où l’on n’aime plus. Le cœur a eu besoin des grands espaces pour se refaire et des secrètes abondances du Nord pour retrouver le goût des choses. Puis il a fallu rentrer à la maison.

Track #2

Puisque. Puisqu’il n’y a vers l’amour immortel que deux chemins tout tracés…»Je serai chanteuse populaire ou j’entrerai au monastère, mon amour.»

Track #3

Ma jeunesse fout l’camp. Guy Bontempelli a écrit une chanson magnifique, empreinte tout à la fois de sagesse, de candeur et de mélancolie. Il me semble que le temps qui passe n’a jamais été si doux et émouvant qu’ici et que je pourrais la chanter toute ma vie.

Track #4

Paris, Moscou. J’ai aimé deux garçons, l’un Paris, l’autre Moscou, l’un était là et l’autre ailleurs ; ils étaient la tête et le cœur, les deux grands et beaux comme le Sacré-Cœur et comme la Place Rouge. J’ai vu Paris de près, Moscou de loin, et puis l’amour n’est jamais simple quand le soir tombe sur les capitales.