Comme emplacement pour son restaurant, Benjamin Gillouard ne pouvait guère faire mieux. Situé en face de l’Essec et à une centaine de mètres de la préfecture, il bénéficie d’une situation privilégiée. Mais cela ne suffit pas à remplir un restaurant. Pour fidéliser sa clientèle, Benjamin et sa femme Tiphaine ont misé sur la qualité. Ils font du « fait maison ». En récompense de ce choix contraignant, ils ont obtenu le label de maître restaurateur.
Médaillon de lotte, Steak tartare, tiramisu au spéculoos, ici tout est fait maison. Pas de surgelés, ni de plats réchauffés, les produits sont frais et préparés dans les cuisines de l’établissement. Un choix voulu par Benjamin Gillouard, le gérant de « l’Atelier ». Fils et petit fils d’amoureux du bon goût et de la cuisine, Benjamin ne pouvait envisager d’ouvrir un restaurant où on servirait des plats surgelés. En 2009, il ouvre avec sa femme Tiphaine leur brasserie-restaurant. 5 ans après, ils obtiennent leur première reconnaissance professionnelle, le label de maître restaurateur.
Crée par l’État, ce label garantit aux clients une cuisine 100 % fait maison. Pour l’obtenir, les restaurants qui demandent le label sont audités par des cabinets indépendants et doivent suivre un cahier des charges précis. S’ils remplissent toutes les conditions, ils obtiennent le titre de maître restaurateurs. Un gage de qualité pour les consommateurs. Dans un secteur très concurrentiel ou aucune réglementation n’oblige les restaurants à afficher la manière dont sont faits les plats, ce type de label est une information importante pour le consommateur.
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