La maison d’Anne Ionesco à Maudétour-en-Vexin, tuée en décembre d’une balle dans la tête, a été cambriolée à deux reprises en trois jours au mois de janvier. Grâce à de l’ADN retrouvé sur les lieux, un individu a été interpellé et placé en détention provisoire.

Les scellés judiciaires n’ont pas refroidi les cambrioleurs. Des individus se sont introduits à deux reprises dans le domicile d’Anne Ionesco, à Maudétour-en-Vexin. Cette dernière a été retrouvée morte à Villers-en-Arthies, au début du mois de décembre dernier, tué d’une balle dans la tête. Le tueur présumé a ensuite été retrouvé pendu, quelques jours plus tard.

Plusieurs individus se sont donc introduits une première fois par effraction, le 16 janvier dernier dans le domicile d’Anne Ionesco. Ils ont forcé la fenêtre d’une chambre et la porte principale, où était apposé un scellé judiciaire, à l’aide d’un pied de biche. Des bijoux et des appareils multimédias ont été volés.

Deux jours plus tard, la résidence de la victime a de nouveau été visitée par plusieurs individus. Cette fois-ci, ils ont été mis en fuite par des militaires de la brigade de gendarmerie de Magny-en-Vexin. En s’échappant, les individus ont abandonné une partie de leur butin.

Un homme a pu être identifié, grâce à de l’ADN retrouvé sur les lieux. Agé de 19 ans, il a été interpellé à son domicile de Mantes-la-Jolie, dans les Yvelines et a été placé en détention provisoire.