Peu épargné par la droite à l’issue de la séance du conseil général, Robert Daviot, conseiller général non-inscrit mais élu sous la bannière de l’UVO, assume sa position d’ « homme libre et indépendant ». « On est dans un pays où lorsqu’on s dit d’accord avec l’opposition, on se fait tout de suite flinguer » affirme-t-il. Il regrette au passage « des pressions qui viennent essentiellement et malheureusement de ses propres amis » et qui peuvent expliquer qu’il prenne « un peu plus ses distances » avec la droite.